Le développement du Chef-lieu de la "Zone rouge" a toujours été l'effort de ses propres fils. Il y a très peu de traces de l'administration coloniale du point de vue des infrastructures qui existent à Idiofa. Mais on sait combien les gens se sont mobilisés pour construire, pour organiser un petit commerce qui a fait l'honneur de cette cité. Le diocèse de son coté a joué un rôle de premier plan dans la recherche des voies et moyens pour le développement de cette population. Aujourd'hui encore, le dynamisme de cette population ne s'étouffe pas encore malgré la grande crise qui ronge et sévit. C'est avec joie que l'opération "chasse à la paille" prend de l'ampleur. Il s'agit à travers ce mot d'ordre spontané de couvrir ne serait-ce le toit de sa case avec des tôles, même si les murs sont en bois. Mais ces efforts sont confrontés au quotidien à des graves problèmes qui méritent l’attention de tous. Nous devons comprendre que le développement d’Idiofa ne viendra ni du sommet de l’Etat, ni de la province, mais de nous-mêmes fils et filles de Fadio. Pouvons nous réfléchir sur un programme d’urbanisation d’Idiofa par exemple ?
D’abord au niveau individuel :Si chacun de fils d’Idiofa qui est à l’étranger décide de construire une maison dans cette cité, ce sera sa part de fleur qu'il apporte à l'ornement de notre cité. Il suffit d’inventorier pour trouver combien de maisons en matériaux durables se seraient ajoutées à Idiofa. Ici, les pays de l’Afrique de l’Ouest peuvent beaucoup nous inspirer. Avant d’avoir une villa en ville, chacun de tous ces riches ou grands commence par avoir une belle maison dans son village. La maison à construire n’est pas une maison communautaire pour abriter tous. C’est votre maison à vous.
Si un fils d’Idiofa prend l’initiative d’ouvrir une fabrique (savons, biscuit…), une polyclinique, ou quelque autre investissement dans la cité…, il aura contribué à son développement en donnant de l’emploi et en fournissant directement à la population un produit qu’il va chercher peut être loin. Nous voulons encourager tous les « fadiolais » à faire diverses initiatives dans leur cité et ne ps penser seulement à Kinshasa.
Au niveau collectif :Il y a vraiment beaucoup à faire. Et ici, nous ouvrons le forum pour vos avis.
1. La grande avenue (appelée communément Grande route)
2. L'internet
3. La piste d’Avion
4. L’Isp Idiofa
5. L’hôpital
6. L’électrification d’Idiofa.
Voilà pour le monent.
Rome, le 28 Juin 2007.
Robert Bellarmin SISI KAYAN
2 commenti:
Bien cher Kayan,
telque je vois, je ne suis pas le premier a livrer un bref commentaire sur ton site .Je partage ton point de vue de dire a Idiofonline de preferer un blogspot plutot qu'un site web.
Lorsque nous parlons "Idiofa" que voulons nous sous entendre exactement? Un sous ensemble ou un ensemble? Idiofa: cite, territoire ou diocese? Je me rends compte que chacun tire la couverture de son cote. Essayons d'elargir nos horizons.
Felicitations pour ton site.
Valerio
Cher Kayan,
Bonjour,
Merci de penser à ton Idiofa en depit des milliers de km où tu te retrouve en Italie. Pour votre information du 28 novembre 1913 au 28 novembre 2013, Idiofa vient de totaliser 100 ans comme territoire. Souffrez que je vous dise que jusqu'à ce jour aucune organisation.
Songeons à transformer petit à petit notre Idiofa et les choses iront de l'avant.
Joseph MUMBUNGU IKWOM
Mille Boules
Kinshasa, le 06 février 2014
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